A Conakry, les filles se rendent plus belles pour accueillir le nouvel an.
31 décembre 2010
Les guinéens éprouvent d’énormes difficultés pour fêter la fin de l’an 2010. A pas de caméléon, le pays est entrain de sortir d’une longue crise à la fois politique, économique et sociale dont le facteur aggravant a été l’interminable processus électoral au cours duquel toutes les activités étaient presque arrêtées. Les poches sont donc vides et cela ne donne aucun goût à la fête. C’est seulement dans les milieux féminins…